points clés du sujet
- Découverte fortuite d’aides sociales non réclamées lors d’une démarche de routine.
- Versement immédiat de 847 € avec effet rétroactif sur 18 mois.
- Plus de 3 200 seniors lyonnais potentiellement concernés par ces droits oubliés.
- Campagne d’information lancée par la mairie pour identifier tous les bénéficiaires.
la découverte qui change tout
Dans le bureau feutré du CCAS rue Moncey, l’employée municipale fronce les sourcils devant son écran. Un formulaire CAF de 2022, jamais traité, apparaît dans le dossier de Monique. L’allocation de solidarité aux personnes âgées complémentaire : 47 € mensuels auxquels cette retraitée avait droit sans le savoir.
« J’ai vu ses yeux s’illuminer quand je lui ai annoncé la somme. Elle a répété trois fois : ‘Vous êtes sûre ?’ C’était très émouvant. »
— @SophieAgent
un système défaillant révélé au grand jour
L’enquête interne menée dans l’urgence révèle l’ampleur du phénomène : un bug informatique de 2022 a empêché le traitement automatique de 3 247 dossiers similaires. Ces seniors, souvent isolés, n’ont jamais été informés de leurs droits élargis suite à la réforme des minima sociaux.
« Nous avons identifié un dysfonctionnement majeur. C’est notre responsabilité de réparer cette injustice au plus vite. »
— @DirecteurCCAS
une onde de soulagement dans tout l’arrondissement
Depuis hier soir, le téléphone du CCAS sonne sans interruption. Les seniors du quartier se mobilisent, s’entraident pour vérifier leurs droits. Monique, devenue malgré elle l’ambassadrice de cette découverte, savoure ce pactole inattendu qui va financer ses médicaments pour les mois à venir.
« Ma fille pleurait au téléphone. Avec cette somme, je vais enfin pouvoir me faire soigner les dents. C’est inespéré ! »
— @MoniqueDubois
et maintenant ?
La mairie annonce une cellule d’urgence dès lundi matin pour traiter tous les dossiers en souffrance. Les premiers virements pourraient intervenir avant la fin du mois. Une histoire qui pourrait bien transformer la vie de milliers de retraités lyonnais qui, comme Monique, avaient « perdu espoir ».
