Un drame d’une violence inouïe vient d’éclater au grand jour. Jean Pormanove, jeune streamer, a été torturé, humilié et privé de sommeil pendant des mois devant des milliers de spectateurs sur la plateforme Kick. Sa mort a provoqué un électrochoc dans les plus hautes sphères de l’État, qui saisit aujourd’hui l’Arcom pour faire la lumière sur ce qui ressemble à un meurtre en direct.
Des actes de barbarie filmés et monétisés
Les témoignages qui remontent sont glaçants. Les internautes qui ont visionné les lives parlent d’un véritable spectacle de la cruauté.
« Les faits dépassent largement le niveau de la simple maltraitance. On est très certainement dans le champs des tortures et actes de barbaries »
— @LAGROSSESIMONE
Pendant des mois, Jean Pormanove a subi des sévices devant un public qui payait pour voir ses souffrances. Une mise en scène perverse où la douleur d’un homme vulnérable était transformée en divertissement lucratif.
Un bas-fond accessible en deux clics
Le plus terrifiant ? Cette horreur était diffusée sur une plateforme grand public, accessible à tous.
« C’est glauquissime, malaisant, toxique. Deux personnes aux tendances clairement perverses qui abusent d’une troisième personne en situation de faiblesse »
— @Prosperyouplaboum
La plateforme Kick, surnommée « la poubelle du stream », avait pourtant été alertée. Médiapart avait même mené l’enquête en décembre dernier. Réponse de Kick ? Le silence radio. Réponse du gouvernement ? Aucune, jusqu’à ce drame.
Des complices par milliers
Une question terrifiante émerge : les spectateurs qui ont financé ce spectacle de l’horreur par leurs dons sont-ils complices ?
« Les personnes qui les ont soutenus via les dons ont une part de responsabilité dans les horreurs commises et le drame qui en découle »
— @AdRevolutionary2679
Car derrière chaque session de torture, il y avait des milliers de spectateurs payants qui encourageaient les bourreaux de Jean Pormanove.
Et maintenant ?
Le gouvernement promet des sanctions. Mais combien d’autres Jean Pormanove subissent-ils en ce moment même des sévices devant des caméras, quelque part sur Internet ? Et vous, auriez-vous le courage de dénoncer si vous tombiez sur de telles horreurs ?
