points clés du sujet
- Faux agents municipaux démarchent à domicile avec de fausses autorisations.
- 17 victimes recensées en 3 jours, pertes estimées à 45 000 euros au total.
- Seniors de 70 à 85 ans principalement visés dans l’Est lyonnais.
- Technique d’arnaque inédite combinant visite physique et manipulation numérique.
premiers signes inquiétants
Tout commence par une visite courtoise. L’escroc, équipé d’un faux badge municipal et d’une tablette tactile, explique qu’une prime de solidarité de 380 euros est distribuée aux retraités avant Noël. Il suffit de remplir un formulaire numérique avec ses coordonnées bancaires pour recevoir le versement sous 24h.
« Il était très poli, bien habillé, avec un badge officiel. Il m’a dit que c’était un cadeau de la ville pour les anciens. J’ai cru que c’était vrai. »
— @MarieL69
révélation choquante
L’enquête révèle une organisation sophistiquée. Les escrocs utilisent de vrais formulaires administratifs détournés et des badges contrefaits d’une qualité professionnelle. Ils ciblent exclusivement les résidences seniors et connaissent parfaitement les noms et âges des résidents, suggérant une fuite de données préalable.
« Il connaissait mon prénom, mon âge exact et même le fait que j’habite seule. Comment aurait-il pu inventer ça ? J’ai eu confiance immédiatement. »
— @Sylvie_R
conséquences dramatiques
Les victimes découvrent l’arnaque 24 à 48h plus tard en consultant leurs comptes. Les prélèvements vont de 380 euros à 3 200 euros selon les cas. Plusieurs personnes âgées ont sombré dans un état de détresse psychologique profond. Méfiance absolue : aucune prime municipale n’existe actuellement.
« Ma grand-mère a perdu 2 400 euros de ses économies. Elle ne dort plus, elle a honte et refuse de sortir de chez elle. Ces gens sont des monsters. »
— @TomDurand
et maintenant ?
L’enquête s’intensifie mais les escrocs semblent avoir disparu aussi vite qu’ils sont apparus. La question qui hante les enquêteurs : combien d’autres victimes n’ont pas encore découvert le pot aux roses ?
