points clés du sujet
- Faux agents municipaux démarchent à domicile avec de faux documents officiels.
- Les victimes versent des sommes importantes pour un service internet gratuit inexistant.
- Les personnes de 70 à 85 ans sont prioritairement visées dans les quartiers résidentiels.
- Les escrocs connaissent des détails privés troublants sur leurs cibles.
premiers signes inquiétants
Tout a commencé mardi vers 14h dans le quartier des Minimes. Deux hommes en costume, munis de badges et de tablettes, sonnent aux portes en se présentant comme des « conseillers numériques municipaux ». Leur discours est rodé : ils proposent un forfait internet gratuit à vie réservé aux seniors, mais nécessitant des « frais d’activation » immédiats.
« Ils avaient l’air si officiels avec leurs documents plastifiés. Ils connaissaient même le prénom de mon mari décédé, ça m’a troublée. »
— @MarieT_Minimes
révélation choquante
L’enquête de proximité révèle que les escrocs possèdent des informations précises sur leurs victimes : noms des conjoints, situations familiales, parfois même les montants des pensions. Un détail glaçant : ils ciblent exclusivement les personnes isolées et évitent soigneusement les maisons où vivent des familles multigénérationnelles. Source probable : le piratage de bases de données municipales ou associatives.
« Ils savaient que j’étais veuve depuis 2019 et que je touchais 1 200€ de retraite. Comment c’est possible ? J’ai eu la chair de poule. »
— @Simone_Bellefontaine
conséquences dramatiques
Les témoignages affluent sur les réseaux sociaux locaux. Certaines victimes ont versé jusqu’à 3 400€, persuadées d’investir dans un service municipal légal. Les plus touchées développent des troubles du sommeil et une méfiance maladive. Un avertissement urgent : les escrocs utilisent de vrais logos de la mairie et des références à des dispositifs gouvernementaux existants.
« Ma mère ne dort plus, elle vérifie ses comptes toutes les heures. Elle a honte d’avoir été dupée, ça nous brise le cœur. »
— @JulienC_Toulouse
et maintenant ?
Alors que l’enquête s’accélère, une question troublante demeure : comment ces criminels ont-ils pu accéder à des données si privées sur leurs victimes ? Et surtout, combien de seniors vulnérables attendent encore leur visite ?
