points clés du sujet
- Vague d’appels malveillants touchant 17 seniors en quelques heures ce matin.
- Menaces immédiates de coupure d’électricité pour créer la panique.
- Personnes âgées isolées particulièrement visées dans le quartier des Minimes.
- Technique d’arnaque perfectionnée avec faux numéros EDF et script terrifiant.
premiers signes inquiétants
Vers 6h30, le téléphone de Madeleine, 78 ans, sonne. Au bout du fil, une voix masculine autoritaire se présente comme technicien EDF. Le ton est sec, pressant. L’homme affirme qu’une facture de 847 euros n’a pas été réglée et que la coupure interviendra dans l’heure si elle ne paie pas immédiatement par carte bancaire.
« J’ai eu tellement peur que mes mains tremblaient. Il me hurlait dessus, me disait que j’allais rester dans le noir et le froid. »
— @MadeleineT
révélation choquante
L’enquête révèle que les escrocs disposent d’informations personnelles précises : noms complets, adresses exactes, et surtout l’âge des victimes. Ils appellent exclusivement des personnes de plus de 75 ans, entre 6h et 9h du matin, moment où elles sont les plus vulnérables. Le numéro affiché imite parfaitement celui du service client EDF.
« Il connaissait mon nom de jeune fille, mon ancienne adresse. Comment c’est possible ? J’ai failli donner mes codes de carte bleue. »
— @GenevieveR
conséquences dramatiques
Trois victimes ont été hospitalisées pour malaise cardiaque suite à ces appels. L’une d’entre elles a transféré 1200 euros avant de réaliser l’arnaque. Les familles sont sous le choc face à cette violence psychologique calculée. La brigade de gendarmerie des Minimes confirme avoir reçu 12 plaintes depuis ce matin.
« Ma grand-mère pleure depuis ce matin, elle n’ose plus décrocher le téléphone. Ces gens sont des monstres. »
— @JulienM
et maintenant ?
Combien de seniors recevront encore ces appels dans les prochaines heures ? Les autorités restent étonnamment silencieuses sur l’origine de cette fuite de données personnelles qui permet aux escrocs de cibler si précisément leurs victimes. Une question dérangeante demeure sans réponse.
